Du 6 au 8 février, le HCDH (Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme) a organisé un atelier de trois jours afin de réunir les principales parties prenantes pour discuter des moyens pratiques d’améliorer et de renforcer la promotion et la protection des droits économiques, sociaux et culturels dans le contexte de la lutte contre les inégalités dans le cadre du redressement après la pandémie de COVID-19.
La réunion a consisté en une séance d’ouverture de haut niveau, suivie de six tables rondes et d’une séance de clôture. Lors des sessions 2 à 6, les présentations initiales des panélistes ont été suivies d’interventions des participants. OIDEL a participé avec deux déclarations orales lors des deuxième et quatrième sessions.
La deuxième session a encouragé les participants à réfléchir de manière critique sur les progrès, les défis et l’avenir des droits économiques, sociaux et culturels. Josyane Zingg, au nom de l’OIDEL, a expliqué les progrès et les défis pour l’avenir du droit à l’éducation. Elle a souligné une augmentation de la confiance – de la part des États – envers les parents pendant la pandémie et son déclin ultérieur, ce qui est problématique du point de vue des droits de l’homme.
Mayca San Andrés est intervenue au nom de l’OIDEL lors de la quatrième session, dont le thème était « Investir dans les dépenses sociales et lutter contre les inégalités pour progresser vers une plus grande réalisation des droits économiques, sociaux et culturels ». Elle a accueilli favorablement et réaffirmé la résolution 49/19 adoptée par le Conseil des droits de l’homme, ainsi que l’accent mis sur le rôle important de la société civile dans la promotion et la défense de la réalisation du droit à l’éducation.